Mobilisation pour l'emploi et l'insertion des jeunes, visite de 2 ministres

Déplacement des ministres Élisabeth Borne, ministre du Travail, de l'Emploi et de l’insertion et de Sarah El Haïry, Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et de l'Engagement.
Lundi 6 septembre, Élisabeth Borne, ministre du Travail, de l'Emploi et de l’Insertion et Sarah El Haïry, Secrétaire d'État chargée de la Jeunesse et de l'Engagement étaient en déplacement à Nantes et à Carquefou dans le cadre du plan « 1 jeune, 1 solution ».
Élisabeth Borne et Sarah El Haïry se sont rendu dans les locaux de l'APEC à Nantes pour échanger avec de jeunes diplômés inscrits dans le dispositif

« Objectif 1er emploi », qui permet l’accompagnement des jeunes diplômés dans leurs recherches. Une aide financière est également proposée aux jeunes qui en ont besoin.
Élisabeth Borne a profité de cette visite pour signer le renouvellement du mandat de service public de l’APEC pour la période 2022-2026.
En renouvelant le mandat de service public de l' Apec - Association Pour l'Emploi des Cadres, et dans un contexte où l'emploi reprend, l’État confie à l'APEC le défi de l'insertion des cadres, notamment des plus éloignés, plus fragiles (jeunes, seniors, habitants quartiers politique de la ville,...).
Durant la crise sanitaire, le chômage des jeunes s'élevait à 32%. Grâce à France Relance et au plan 1jeune1solution de nombreux dispositifs ont été financés pour soutenir leur insertion. L’État a décidé de prolonger les aides à l'apprentissage jusqu'au 30 juin 2022.
Autre volet du plan 1jeune 1solution, le doublement du nombre de jeunes suivis (décrocheurs, primo entrant,...). Depuis 1 an, 50 000 jeunes diplômés ont été accompagnés par l'APEC. "Aucun jeune ne doit renoncer" précise Élisabeth Borne.
Les Ministres ont également visité le site de l’ICAM à Carquefou, l’école de production qui forme des jeunes en situation de décrochage scolaire vers les métiers de l’industrie où elles ont échangé avec les jeunes accompagnés.
« Une réponse de formation qui repose sur le "faire pour apprendre" contrairement au "apprendre pour faire" - Elisabeth Borne
En 2020, 526 000 contrats ont été signés. Les écoles de production sont une réponse supplémentaire à l'offre de formation et d'insertion des jeunes et accueillent des profils pouvant être coincés dans un enseignement traditionnel (dyslexiques, réfugiés, décrocheurs) tout en s'adaptant aux besoins des entreprises.

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